EHREN • live fast, die young

« t'es nul Ehren » Je me mis a rire. ma soeur savais carrément comment me changer les idées. Elle était la personne la plus importante pour moi. Nous étions entrain de jouer au Xbox et elle menait de loins. Je n'étais pas vraiment doué dans tout ces jeux vidéos. Enfait, J'étais carrément nul. Après avoir essuyer une troisième défaite a ce jeux nul, je mis le tout sur pause. Je me tourna la tête vers ma soeur jumelle. On était loins d'être pareil moi et elle, mais on étaient toujours là l'un pour l'autre. « J'dois te dire quelque chose, Laora. » Elle tourna également la tête vers moi et m'offrit un sourire rassurant. Elle savait toujours me consoler lorsque j'avais pas le moral. Elle savait me faire sourire lorsque j'allais mal. « Dis-moi. C'peux pas être pire que lorsque tu t'es tapé la fille de la directrice et que tu t'es fait suspendre. » Je fis un petit sourire. C'est vrai que cette fois, j'avais vraiment été dans la merde. Et elle avait raison. Nous avions une famille de merde, mais nous nous avions, nous. On était là l'un pour l'autre. Pour le meilleur et surtout le pire. Entre notre ''père'' Morgan Booth et maman, Aylin Dickens, nous n'étions pas chanceux. Le premier était un gros loser qui essayais de se prendre pour mon putain de père et l'autre passait ses journées à m'engueuler car je suis a moitié soul. Classique type d'une famille irlandaise vivant a New York qui est loins d'être exemplaire. « Enfait, je crois que c'est pire. Je ... » Elle tenait ma main. Je voulais tout lui dire, vraiment. Mais je ne savais pas comment ni pourquoi j'aborderais le sujet. C'était nul ce que je faisait. Ma plus jeune sœur passa dans le salon et me sauta dessus pour rigoler. Elle prit la manette de Xbox et me demanda si je voulais jouer. « une prochaine fois » et je regarda ma jumelle et je partis faire un tour. Je le lui dirais. un jour. 

« Je sais pas comment, je sais pas pourquoi, mais c'est comme ça. Je suis celui qui est fait pour toi. » Meilleurs amis depuis toujours. C'est ce qu'on était l'un pour l'autre. Toutefois, alors que je disais ces mots, je su que c'était la vérité. Je l'aimerais probablement toujours. Je ne voulais pas qu'elle soit en couple avec ce con. « Ehren ... » Il ne la méritait pas. Toutefois, qu'est ce que je peux faire contre le destin ? Pendant deux ans, on s'est chercher, on s'est trouver, pour encore mieux se perdre. J'en ai marre de souffrir. C'est un amour trop grand. Je ne peux pas m'empêcher de penser a elle. Pourtant ça devrait pas être permis, on était pas fait l'un pour l'autre. Nous ne l'étions jamais été et nous ne le serons jamais. Je sais que je me mentais. Et lorsque j'appris que la femme de ma vie, ma meilleure amie, était morte dans un accident de voiture  ça me fit un putain de choc. Merde. J'avais F A I L et je ne savais pas comment je pouvais bien faire pour me le pardonner un jour.

Cette journée. Ce fameux 23 Janvier 2001. J'avais été a Dublin avec des potes. C'était ma fête et j'avais été dans un bar. Cela faisait un an que ma meilleure amie était morte. J'entra dans le bar et me commanda une Vodka. Après trois heures a me faire de la Vodka, j'etais complètement soul. Je débarqua de ma chaise et poussa un mec. Hey putain, fait attention. je me retourna vers celui qui m'avait parler. Je le regarda attentivement et je partis le majeur en l'air. Je suis invincible. Je ne peux pas mourrir. Toutefois, lorsqu'il sorti pour me faire la peau, me laissant pour mort, agonisant, j'ai compris. Je ne suis pas invincible. Et c'est ainsi que je mourru dans la terre de mes ancêtres, seul dans une rue. 

« on est bien tout les deux. » On était coucher sur son lit. « tu fous quoi, Dickens ? » J'éclata d'un petit rire. Sa tête était appuyée sur mon ventre. Elle écoutait son Ipod d'une oreille tout en envoyant des texto ici et là. Je m'amusais tranquillement a bouger mon ventre afin de gêner sa rédaction. Le fait est que je m'ennuyais. Je l'avais rencontrée il y a deux ans, soit 7 ans après ma mort, 8 ans après la mort de ma meilleure amie. De celle qui était morte. Je voyais en elle celle qui avait été toute ma vie. J'étais irrévocablement attiré vers elle. on baise ? Elle se retourne vers moi et me fou une gifle. Je suis en colère. Putain, pas besoin de me gifler. Elle se lève au même moment que moi. c'est quoi ton putain de problème Dickens. VA BAISER UNE FILLE SUR LA RUE POUR CE QUE J'EN AIT A BATTRE. Fout-moi la paix et j'suis pas une de ces filles baisables que tu charmes en disant que tu étais un étudiant en sexologie, payer pour mâter les gros seins de toutes celles que tu ''examinais'' dans ton putain de cabinet de sexologue à la con J'étais rouge de colère. Ce qu'elle a un caractère de merde. Elle lui ressemble tellement. Alors je franchit le reste avant de l'atteindre. Je lui prend les deux bras fermement et je la plaque au mur violemment. CEST QUOI TON PUTAIN DE PROBLEME A TOI ? TU TE CROIS TROP BIEN POUR MOI ? Alors que t'as des putains de mecs qui passent dans ton pieux tout les putains de jours ? Elle me regarde et je vois bien qu'elle a envi de me battre. De me frapper jusqu'à ce que mort s'en suive. Je m'en fout. Puis alors que j'allais continuer, elle s'empara de ma bouche. Elle m'embrassa avec une telle violence. Je le lui rendait bien, me plaquant le plus possible contre son corps. Je voulais qu'on baise là, live sur le mur. Alors que j'embrassais toute partie de son anatomie que j'étais capable de rejoindre, Elle me retira mon t-shirt. Je sentais ses ongles sur ma peau. Ont était comme ça. Une seconde on aurait dis deux amis qui ont des sentiments, la seconde d'après, ont est ces amants qui s'engueulent.