Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

 

 « I died for you. Could you die for me? » ― WILLOW .

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Willow-Addie Pepper
Admin
Willow-Addie Pepper


♣ MESSAGE : 153

« I died for you. Could you die for me?  » ― WILLOW . Empty
MessageSujet: « I died for you. Could you die for me? » ― WILLOW .   « I died for you. Could you die for me?  » ― WILLOW . EmptyJeu 5 Aoû - 22:47


-pepper valentine, willow-addie. †
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

« I died for you. Could you die for me?  » ― WILLOW . Tumblr_l6jkg7Hrwv1qzj9f3o1_500
copyright.


« vingt ans. » « je suis née le vingt-sept mars mille neuf cent quatre-vingt-huit aux états-unis en géorgie à tybee island. » « je suis morte le vingt-huit avril deux mille huit dans cette même ville. » « c'était compliqué. » « (HBIC) SEE YOU WHEN YOU GET THERE. » « nina dobrev. »

DE VOTRE VIVANT, COMMENT VOYIEZ-VOUS LA MORT ? — Je n'ai jamais cru en Dieu. Aucun dieu, ni Alla, ni Bouda, personne. Je croyais simplement que lorsque l'on mourrait, c'était semblable aux nuits sans rêves, le troue noir, sans pensers rien. Je croyais que la mort était rien, simplement rien. Qu'on n'allait pas au paradis, ni en enfer, qu'on s'endormait à jamais pour ne plus jamais avoir conscience de rien. COMMENT VOUS ÊTES-VOUS SENTIT EN ARRIVANT ICI ?— J'étais triste et désemparée, je croyais qu'il n'y avait plus rien après la mort, alors je pensais que je pourrais mourir et pas penser à lui. Mais non, je "vis" ici, à me rappeler que je suis morte et pas lui, que plus jamais je ne le verrai, plus jamais je le sentirai contre moi, plus jamais je pourrais espérer avoir droit au bonheur, parce qu'il est tout ce qui m'a rendu heureux. Ça fait un an maintenant que je suis arrivée et je tourne encore en rond, l'éternité va être longue sa lui. .
    COMMENT VOUS SENTEZ-VOUS MAINTENANT ? — Je me sens bizarre, je comprends pas comment je peux être morte et répondre à cette question présentement. Je ne comprends pas comment je peux être morte et toujours réfléchir, je ne peux pas être ici. La mort ce n'est pas cela. J'ai accepté les faits, puisque c'est plus simple ainsi. Après un an, même si il me manque à mourir, ironiquement, j'ai accepté que je ne le verrai plus jamais. Même que je ne veux pas le voir de si tôt, puisque je suis morte pour que ses filles aillent un père. QUE VOUS MANQUE-T-IL MAINTENANT QUE VOUS ÊTES PASSE DE L'AUTRE CÔTE ? — Je vous mentirais si je disais que je vis bien avec la mort, mais je ne la regrette pas. Je ne suis peut-être pas avec lui, mais je n'ai plus mon père qui me fait du mal, il est mort aussi, mais il a du vraiment passer de l'autre côté lui. J'ai le coeur brisé, mais il ne bat plus alors on s'en fou. Liam me manque, mais j'ai fait le choix de mourir pour qu'il vivent, alors je vis avec cette peine, enfin, je suis morte avec cette peine et porterai ce vide éternellement.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

« I died for you. Could you die for me?  » ― WILLOW . Disney0ac1alt
LIVEJOURNAL
Je suis Gertrude, passionnées des chats, j'en n'ai quatre, enfin, quatre et demi puisque j'ai un petit bébé rikiki qui grossit chaque jour, à mon âge, je ne vis que pour mes matous. Je les aime, deux d'entre eux viennent juste de rejoindre la famille cette été même, dont une enceinte qui a maintenant un magnifique bébé puisque les autres n'ont pas survécu, comme elle est vraiment jeune sa maman. Je les nourris, les gratte et les aimes chaque instant de ma journée. Lorsqu'elles dorment où sont occupé, je passe sur ce forum pour écrire une vie que j'aurai jamais, puisque je veux seulement aider les chats. J'avais un joli mari avant, très joli, il avait un dos super, mais un jour, il m'a avoué avoir une allergie au poils de chat et quand il m' a demander de choisir, il fut surpris de ma réponse. Depuis, je n'ai qu'eux puisque je vis dans une ville où le magasin le plus en vogue c'est un wal-mart et que maintenant, il y a plus de gens qui parle chinois ici que français et tout le monde sait que les chinois mangent les chats, alors je les surprotège, par peur de les trouver cuit. Un mercredi sur deux, nous allons faire une visite chez le vétérinaire et l'autre, nous allons dans un restaurant où les animaux de compagnies sont permis. J'ai aussi une petite boutique où je vends des chats, ceux que je trouve à l'extérieur, je les soigne et les nourris pour ensuite leur trouver un foyer dont les habitants ne les mangeront pas.


Dernière édition par Willow-Addie Pepper le Mar 17 Aoû - 16:57, édité 16 fois
Revenir en haut Aller en bas
https://thenewbeginning.forumgaming.fr
Willow-Addie Pepper
Admin
Willow-Addie Pepper


♣ MESSAGE : 153

« I died for you. Could you die for me?  » ― WILLOW . Empty
MessageSujet: Re: « I died for you. Could you die for me? » ― WILLOW .   « I died for you. Could you die for me?  » ― WILLOW . EmptyVen 6 Aoû - 19:55

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
« I died for you. Could you die for me?  » ― WILLOW . Tumblr_l63dzf20e91qa4qnzo1_500
« Je suis celle qui l'a tué. » Je mentais et c'était pour cette raison que je pleurais. Je venais d'entrer dans le bureau d'un policier où Liam était interrogé. Il me regardait stupéfié. Il était celui qui avait tué. Il était celui qui avait pris la vie de d'un homme à l'aide d'un fusil. Il l'avait tué pour moi, cet homme était mon père. Il a tué mon père pour moi puisque mon père était mauvais, il me faisait du mal. Liam était le seul à savoir la vérité, il était à ce moment-là mon voisin. Il vivait avec sa femme et ses enfants. Il m'aimait, je le sais. Il ne l'avait pas tué pour rien. Il voulait mon bonheur et la dernière fois que je suis aller à lui avec des bleus au visages, il a décidé qu'il ne me toucherait plus jamais mon père. Il a prit un arme à feux et le reste c'est passé si rapidement. Je ne voulais pas qu'il meure. Je ne pouvais dire qu'il avait tué mon père parce que celui-ci me battait, j'avais aucune preuve, rien ne prouvait que ces bleus sur ma peau était causé par les propres mains de mon père. Homme si bon pour cette petite ville. Même si j'aurai pu dire cette vérité, pourquoi Liam aurait fait cela pour moi? Parce qu'il m'aimait oui, mais personne ne devait le savoir. N'oublié pas que celui-ci est marié et à des enfants. Notre relation est malsaine, était malsaine, mais je ne pouvais permettre la mort de Liam, je ne voulais pas que ses enfants grandissent sans père. Il était si bon, seulement, il aimait une autre femme que leur mère. Puis, il était plus vieux que moi, j'avais vingt ans, il en avait vingt-cinq. Père de deux jeunes jumeaux. Il m'avait aidé, je ne pouvait pas le laisser tomber comme ça. Puis, je ne pouvais supporter l'idée de vivre sans lui. Même si je le voyais en cachette, j'avais besoin de ces moments secrets pour être heureuse, c'était pour lui que je m'accrochais à la vie. Parce que personne ne me retenait, ma mère, je ne l'ai jamais connu et vous connaissez l'histoire de mon père. Il était celui qui me rendait heureuse, je ne pouvais pas le laisser mourir, contrairement à moi, des gens sur cette terre avait besoin de moi. « Je suis celle qui a tué mon père. » Avais-je répéter, un agent vint à moi, attachant mes poignets ensemble, il semblait surprit, mais c'était une déclaration, il ne pouvait ne pas la prendre au sérieux. « Quoi? » Avait dit Liam surprit, il ne comprenait pas, il n'y avait que moi qui savait qu'il avait tué mon père et j'étais celle qui venait crier le contraire. Il savait que si les policiers partaient avec moi, c'était la mort pour moi. J'allais mourir, mourir pour lui. « L'arme du crime, celle de Liam, elle était chez moi, parce que je suis aller lui voler, je savais qu'il ne me la donnerait pas et puisque je suis la gardienne de ses enfants, j'ai une clé pour entrée, quand j'ai été certaine qu'il n'y avait personne, je suis aller chercher un fusil, il avait déjà raconté à mon père qui lui parlait de ses parties de chasses qu'il avait toujours le fusil de son propre père. Je suis celle qui a tué mon père, je l'ai tué parce que je voulais hérité de son argent et partir loin. Je ne croyais pas que cela tournerait ainsi. Je croyais que vous ne trouverai jamais le meurtrier, mais Liam ne mérite pas cela, il a une famille, une femme qu'il aime, il ne peut pas mourir. C'est moi qui a tué mon père, je mérite de mourir. » Je parlais froidement, puisque je me concentrait à ne pas sangloter, les larmes avait tout de même coulé quand j'avais parler de sa femme. Liam me regardait stupéfié. Les policiers le détachèrent et on se croisant à la porte, on me tenait les bras dans le dos fermement. « Pourquoi? » M'avait-il dit avant de sortir. J'avais inventé une histoire qui tenait debout, j'avais vu plus d'une fois que des gens avait tué leur proche pour de l'argent. Je m'étais inventé une histoire valide, même si jamais je n'avais été une femme pour qui l'argent importait. « Parce que je t'aime. » Ce fut les denier mot échanger entre Liam et moi. J'ai accepter de mourir pour lui et c'est pour cette raison je crois que je suis ici pour l'éternité, j'ai accepté de mourir, mais pas de le quitter. J'ai toujours besoin de lui pour être heureuse, seulement, je suis morte pour le sien, je le voulais heureux avec ses enfants, pas mort.

Avant ce jour, où j'ai été étiqueté entant que tueuse, j'étais une simple jeune adulte qui était passionné. J'étudiais à la maison, par correspondance. J'étudiais le journalisme et j'espérais devenir une grande reportrice qui traverserait le monde pour montrer au monde entier ce que les autres ne veulent pas voir. Je voulais changer les choses. Depuis toujours, j'ai toujours voulu changer les choses, mais tristement, je suis tombé amoureuse, vraiment amoureuse. Du mauvais homme, d'un homme marié, d'un père de famille. Il était si bon, tout le contraire du miens probablement. C'est ce qui m'a première attiré chez lui, sa bonté, envers ceux qu'il aimait, il aurait fait n'importe quoi. La preuve, il m'aimait et a tué pour moi. M'enfin, je ne voulais pas briser son mariage, loin de là. Je n'ai jamais été vers lui. Il est venue vers moi. Il m'a demander de venir garder ses enfants. « Ma femme est en voyage d'affaire et je dois travailler sur ma voiture dans le garage, tu veux bien venir surveiller mes petites filles, elles dorment, mais je ne veux pas les laisser seules. » C'est ce qui a démarrer cette relation malsaine. J'ai accepté, il y avait une attirance entre nous depuis son arrivée ici, mais je ne disait rien, des regards avaient été échangé, mais rien de plus. Je ne voulasi pas gâcher son bonheur. Puis garder ses petites me donnait une raison de partir de la maison, donc m'éloigner de mon père qui me faisait si peur. J'avais donc accepté volontier de garder ses enfants, même s'il était présent. Il ne voulait pas laisser ses enfants seules et ça me permettait de ne pas être seule avec ma peine, ma peur. je devais les faire boire une à la fois, l'heure sonna pour la première. J'allais donc préparer le lait pour celle-ci. Je devais le faire bouillir et il ne m'avait pas vu. Un faut pas, du lait bouillant partout sur moi, partout sur mes vêtements. « Je suis vraiment désolé, laisse-moi t'aider, je peux te laisser des vêtements de ma femme, ils seront un peu grand mes cela peut dépanner. » je ne voulais pas porter les vêtements de sa femme, e ne voulais pas. Mais je n'avais pas le choix, j'avais beau lui répéter que je pouvais aller chez moi, il ne voulait pas, il se sentait trop mal et voulais au point nettoyé mes vêtements pour moi. N'importe quoi, mais bon. Je crois que ce n'était que pour me faire rester je crois. Le première était justement les vêtements de sa femme, il m'avait apporté un short et une camisole, je ne pouvais pas refuser, lui demander autre chose parce que je "n'aimais pas", alors je l'enfila, espérant ne pas le croiser, espérant qu'il était repartie dans son garage, me laissant seule avec ses filles. On pouvait voir ses bleus sur mes bras et mes jambes que je me forçait à cacher sous toutes mes longs vêtements. J'espérais que j'entendrais le silence de la machine à lavé et pourrait enfiler mes vêtement avant son retour. « Laisse-moi la prendre, va te chercher quelque chose à manger dans le frigo, tu dois avoir faim, je n'ai pas vu le temps passé, je t'ai laisser comme ça. » avait-il dit en entrant dans la chambre de ses filles, toutes petites filles. Il n'avait pas remarquer ce que je tenais à cacher, c'est seulement quand il pris l'enfant que j'avais dans les bras qu'il remarqua. « Ce n'est rien, je suis maladroite et tombe partout. Ce n'est rien. » Avais-je dis nerveusement, avais-je dis faussement. Je détestais mentir, mais j'avais si peur de mon père que je n'avais pas le choix. Il avait comprit que je mentait et m'avait forcé à rester discuté avec lui, il m'avait dit d'aller me préparer à manger dans la cuisine, qu'il endormait sa petite et me rejoignait. J'aurai pu partir, mais je ne l'avais pas fait. « Qui est-ce qui t'as fait cela? ... Est-ce que ça arrive souvent? Je peux t'aider, je veux t'aider Willow, parle moi. » C'est ce qui démarra notre relation puisque je termina en larme, lui disant tout, sur tout. Comme toute personne normale qui veut consoler une personne en détresse, il m'a prit dans ses bras et cette attraction qui avait entre vous avait prit le dessus. Nous avions coucher ensemble, dans sa maison, dans son salon, je portais les vêtements de sa femme. Je m'en voulais tellement. Vous ne pouvez pas savoir comment. Mais c'était plus fort que moi, nous avions continuer de se voir en cachette. Cette attraction le rendait aussi fou que moi je crois. Sa femme voyageait beaucoup, je gardais régulièrement, personne ne se doutait de rien et c'était parfait ainsi. Seulement, il connaissait mes secrets et chaque fois qu'il pouvait découvrir une autre blessure, il voulait tué. Ce qu'il finit par faire et pour lui, pour ses enfants, j'ai prit le blâme. Alors je suis morte, la peine de mort pour moi, on m'a endormi, me croyant assez folle pour tuer mon propre père. Les bleus sur mon corps avait passé pour fait que mon père avait essayer de me fuir avant que je réussisse à l'abattre. Je suis morte pour lui et ne regrette rien, sauf sa présence. Il me manque comme une folle. J'en deviens folle ici, je l'imagine parfois et rêve à lui dans mes nuits les plus sombre. Il était ma source de bonheur et ici, mes souvenirs de lui et moi me font sourire. Je l'aimais et puisque je suis ici pour l'éternité, je l'aimerai pour toujours.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


Dernière édition par Willow-Addie Pepper le Mar 10 Aoû - 16:15, édité 37 fois
Revenir en haut Aller en bas
https://thenewbeginning.forumgaming.fr
Rollin Carlsburry

Rollin Carlsburry


♣ MESSAGE : 70

« I died for you. Could you die for me?  » ― WILLOW . Empty
MessageSujet: Re: « I died for you. Could you die for me? » ― WILLOW .   « I died for you. Could you die for me?  » ― WILLOW . EmptyDim 8 Aoû - 0:25

JUSTINE. ♥
t'es hot en Drobrev, haha. I love you
FAIS CETTE FICHE QUE JE PUISSE LA LIRE.
Revenir en haut Aller en bas
Willow-Addie Pepper
Admin
Willow-Addie Pepper


♣ MESSAGE : 153

« I died for you. Could you die for me?  » ― WILLOW . Empty
MessageSujet: Re: « I died for you. Could you die for me? » ― WILLOW .   « I died for you. Could you die for me?  » ― WILLOW . EmptyDim 8 Aoû - 1:26

ANAÏS ! -dsl post nul, sans joie mais bon.. Itouch-
et toi tes toujours hot !
Jla termine a mon retour demain (:
et toi aussi fait-la, je veux la lire moi aussi!
Jaime ta façon d'écrire <3

EDIT; dsl j'ai pas fini, je le fait demain
Revenir en haut Aller en bas
https://thenewbeginning.forumgaming.fr
Contenu sponsorisé





« I died for you. Could you die for me?  » ― WILLOW . Empty
MessageSujet: Re: « I died for you. Could you die for me? » ― WILLOW .   « I died for you. Could you die for me?  » ― WILLOW . Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
« I died for you. Could you die for me? » ― WILLOW .
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» « ☮ , ♡ and willow pepper (dot) com ― WELCOME IN HER WORLD.
» I DON'T WANT YOU HERE ♦ liam and willow-addie.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: -andnowyournewbeginningisreallyclose. † :: ♣ DON'T LIVE A LIE ;-
Sauter vers: